BRÉVES JURIDIQUES

23/09 2013

Peut-on déposer directement sa demande de permis de construire au service instructeur intercommunal ?

Urbanisme, 17529

La mutualisation est un terme qui embrasse des réalités variées. Entendue au sens large, la mutualisation comprend l’ensemble des outils de coopération entre une commune et sa communauté (mutualisation verticale) ou entre communes (mutualisation horizontale). Il peut s’agir des prestations de services (article L.5214-16-1 du CGCT), du partage de biens (article L.5211-4-3 du CGCT), d’un mandat de maîtrise d’ouvrage (loi n°85-704 du 12 juillet 1985 dite « loi MOP ») ou encore d’un groupement de commandes (article 8 du code des marchés publics).

La mutualisation stricto sensu s’entend du partage et de la mise en commun des services et des personnels entre un EPCI et ses communes membres, on parle dans ce cas de mutualisation des services.

– See more at: http://www.amf.asso.fr/document/index.asp?DOC_N_ID=12768&REFER=0&REF_SPA=&ref_arbo=&ia=1#sthash.Nns81MEf.dpuf

Non. Pour garantir un accès du service public au plus près des administrés, les autorisations d’urbanisme sont par principe déposées à la mairie de la commune dans laquelle les travaux sont envisagés.

L’article R. 423-1 du Code de l’urbanisme consacre ce principe et précise les demandes d’autorisations visées : le permis de construire, d’aménager ou de démolir et les déclarations préalables.

Lesdites demandes doivent être adressées par pli recommandé avec demande d’avis de réception ou déposées à la mairie concernée.

(JOAN, 10/11/2015, Serge BARDY, question n° 70109)

(Article publié dans notre revue IBM n°282 de décembre 2015/janvier 2016 page 7)

La mutualisation est un terme qui embrasse des réalités variées. Entendue au sens large, la mutualisation comprend l’ensemble des outils de coopération entre une commune et sa communauté (mutualisation verticale) ou entre communes (mutualisation horizontale). Il peut s’agir des prestations de services (article L.5214-16-1 du CGCT), du partage de biens (article L.5211-4-3 du CGCT), d’un mandat de maîtrise d’ouvrage (loi n°85-704 du 12 juillet 1985 dite « loi MOP ») ou encore d’un groupement de commandes (article 8 du code des marchés publics).

La mutualisation stricto sensu s’entend du partage et de la mise en commun des services et des personnels entre un EPCI et ses communes membres, on parle dans ce cas de mutualisation des services.

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La mutualisation est un terme qui embrasse des réalités variées. Entendue au sens large, la mutualisation comprend l’ensemble des outils de coopération entre une commune et sa communauté (mutualisation verticale) ou entre communes (mutualisation horizontale). Il peut s’agir des prestations de services (article L.5214-16-1 du CGCT), du partage de biens (article L.5211-4-3 du CGCT), d’un mandat de maîtrise d’ouvrage (loi n°85-704 du 12 juillet 1985 dite « loi MOP ») ou encore d’un groupement de commandes (article 8 du code des marchés publics).

La mutualisation stricto sensu s’entend du partage et de la mise en commun des services et des personnels entre un EPCI et ses communes membres, on parle dans ce cas de mutualisation des services.

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(mise à jour du 24 juin après visa de la DGCL)
Transfert des pouvoirs de police « spéciale » du maire au président de l’EPCI (mise à jour du 24 juin après visa de la DGCL) – See more at: http://www.amf.asso.fr/document/index.asp?DOC_N_ID=12645&REFER=0&REF_SPA=&ref_arbo=&ia=1#sthash.fmDFhz9h.dpuf
Transfert des pouvoirs de police « spéciale » du maire au président de l’EPCI (mise à jour du 24 juin après visa de la DGCL) – See more at: http://www.amf.asso.fr/document/index.asp?DOC_N_ID=12645&REFER=0&REF_SPA=&ref_arbo=&ia=1#sthash.fmDFhz9h.dpuf